Réveil plus tendre que la veille! Nous enfilons les maillots pour aller nager avec les dauphins roses (appelé les Boto) et les dauphins gris. Nous les avions rencontré déjà lors de différentes pérégrinations sur le rio Yacuma. Mais nager avec! Je ne vous cache pas que chacun de nous étions un peu effrayés. Après avoir vu des caïmans et des alligators à tous les coins du rio, avoir pêché un grande quantité de Piranhas, aller se mettre dans l'eau avec les dauphins nous effrayés un peu… Bon on arrive à la lagune où sont les dauphins. Ils sont rose, vraiment rose pour la plupart. Leur nez est long, très long et ils sont joueurs. Ils suivent notre pirogue et attendent que nous nous mettions à l'eau ou du moins c'est ce que nous comprenons en voyant leur ballet incessant autour de nous. Jackie nous a fait partir tôt afin que nous arrivions les premiers dans la lagune et que les autres groupes ne nous empêchent pas de profiter de ce moment. En effet, les dauphins quand il y a trop de bruit fuient car ils sont effrayés. Jackie nous motive pour nous mettre à l'eau. Les enfants n'hésitent pas (quelle inconscience!) quant à nous nous avons besoin de plus d'explications pour oser mettre le doigt de pied dans la lagune qui est marron et où on ne voit pas grand chose, bien que l'eau soit plus claire que dans le rio. Alors, je vous explique : Les piranhas ne viennent pas où sont les dauphins car c'est le poisson préféré des dauphins; ok jusque là j'accepte l'explication. Et les caïmans et les alligators? eh bien tenez vous bien, ils ne viennent pas dans la lagune. Les dauphins se réfugient dans cette lagune avec leurs bébés et protègent cet endroit de nageoire de fer! Aucun crocodile ne s'avise de rentrer ici de peur d'être attaquer par une horde de dauphins qui les font déguerpir avec des coups de queues douloureux! Je ne vous cache pas que j'achète moins l'explication. En voyant les autres groupes arrivés et se mettre à l'eau on se dit bon…. à l'eau. Alors ce n'est pas comme ce que l'on voit dans les keys aux USA; les dauphins ici sont en liberté et pas domestiqués ou apprivoisés. Donc ils viennent vers vous s'ils veulent! ils vous frôlent, vous tapent de leur museau et parfois même mordent les pieds en pensant que vous voulez jouer sachant que vous, vous battez des pieds pour rester à la surface! La morsure est douloureuse! mais cela n'empêche pas les enfants de continuer et d'en redemander! Dur dur de les faire sortir de l'eau! La végétation aquatique est magnifique! Ces lianes qui tombent des arbres pour aller créer des racines dans le fleuve, ces plantes à la surface de tous les vert possible, fleuries ou pas, qui semblent flotter comme un nuage vert au dessus de l'eau… C'est sensé être notre dernier jour dans ce endroit de rêve! Certes les moustiques nous ont mangé, certes le campement est rudimentaire, certes les douches sont effroyables, mais les gens y sont tellement gentils et la vie y est tellement douce! C'est le jour des quarts de finales et nous nous voyons mal abandonner le campement pour faire 3h de pirogue et ne pas voir les matchs. Nous décidons donc de rester une nuit de plus. Notre hôte nous accepte et s'arrange pour "pirater" la chaîne bolivienne qui a les droits de diffusion des matchs pour offrir à ses clients et ceux des campements voisins une belle soirée.
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Anouar, courageux, se lève tôt pour le levé du soleil en pirogue sur le Rio Yacuma. Un moment magnifique, où la faune se réveil, les bruits des animaux sont très présent et les couleurs superbes! A son retour, nous partons pour la chasse à l'anaconda, après avoir enfilé des bottes. Quelques informations sur ces bébêtes : L'anaconda male mesure jusqu'à 5 mètres, la femelle elle peut mesurer jusqu'à 9 mètres. Un anaconda de 7 mètres, dispose de poumons de 3,5 mètres de long qui lui permettent de se submerger dans l'eau pour sa chasse, il a 100 côtes et 350 vertèbres. Il attaque sa proie de dos, l'entoure de deux anneaux, l'étouffe, la vide de son sang et la gobe! Bref tout un programme réjouissant quand on doit aller à la chasse à l'anaconda. Nous marchons dans la pampa, le guide devant, les enfants, Anouar, Roberto (notre compagnon de groupe) et moi suivons. Nos pieds s'enfoncent dans la boue. Il fait très chaud. D'autres groupes accompagnés d'autres guides sont là. Tout à coup nous entendons "Anaconda"!!! Nous courons et nous enfonçons encore plus. Et là, un anaconda, difficile à prendre en photo, car il est caché dans les herbes! Il mesure 4 mètres. Il est calme, car repu! D'après les guides il ne faut surtout pas le toucher, car sinon il vomit et meure. Pour que vous ayez une idée plus claire de l'anaconda, en voilà un que nous avons vu sur la piste de retour à Rurrenabaque. Un bébé!! Petite précision, la pampa où nous sommes est le parc Santa Rosa qui est une zone protégée. Après la chasse à l'anaconda, nous partons nous réfugié dans une zone plus ombragée. Nous y voyons des ruches d'abeilles de feu (qui font très très mal lorsqu'elles vous piquent), des arbres phagocytant d'autres arbres et des champignons qui poussent sur des excréments d'animaux, bref tout une flore différente de celle que nous avions vue jusqu'à maintenant. L'après midi est réservée à la pêche aux piranhas. Nous partons donc tous en pirogue vers un lieu où l'ont trouve beaucoup de piranhas (dixit Jackie, le guide). Pas de piranhas, pas de diner/ftour! Donc chacun de nous munis de son fil et de son hameçon se charge de mettre des bouts de viande en apât, et lance son fil dans un lieu ombragé où les moustiques grouillent! Bien sûr, nous avons droit à quelques explications claires de Jacky avant de lancer nos lignes : vue la dentition de ces petites bêtes (car nous étions à la recherche de petits piranhas histoire de ne pas prendre de risque) il est préférable de ne pas mettre ses mains dans l'eau, et quand on les attrape de les chopper par les branchies pour enlever l'hameçon afin de ne pas se faire croquer un doigt!. La pêche fut miraculeuse! des piranhas rouges, jaunes, blancs! malheureusement pas de bleus! Néanmoins ce fut un grand moment de rigolade pour nous tous, car à 7 sur la pirogue en train de pêcher l'équilibre était un peu instable et la compétition rude! lol Ceux que nous avons pêché mesuraient entre 12 et 15 cm sachant qu'un piranha peut aller jusqu'à 25 cm! De retour de la pêche vers le campement c'est la fin de la journée, Les animaux s'activent pour pêcher ou chasser, les oiseaux se font présents. Alors Jackie se met à la recherche des singes : Les singes noires, les singes capucchino, les saimiris (ou chichillos petit singe qui grimace sans arrêt et qui est très curieux!), les singes hurleurs, les paresseux. Les saimiris viennent nous voir, montent sur notre pirogue rapidement à la recherche de nourriture. Leur visage est tellement expressif que vous avez la sensation qu'ils vous parlent. Ils grimacent sans arrêt avec des mouvements d'yeux et de front incessant! Le paresseux est très paresseux. Nous le voyons de loin car il est perché tout en haut d'un arbre et notre appareil photo ne nous permet pas de plus boomer. Vous saviez vous, que le paresseux fait 10km en un mois? Au cours du trajet nous rencontrons également un couple de guacamayo (kesako?) eh bien ceux sont ces beaux perroquets que l'on voit dans le dessin animé Rio, bleu jaune… majestueux! Je vous mets une photo prise sur un site web car pour nous impossible de les prendre en photo ils étaient trop haut et donc notre zoom pas assez puissant! Jackie nous emmène au Mirador pour admirer le coucher de soleil! il en profite pour préparer notre pêche qui nous servira de diner! Je vous laisse admirer en photo cette merveille. Finalement le piranha est très bon à manger. Beaucoup d'arrêtes, une chaire gouteuse malgré que ce ne soit pas très copieux. Heureusement que la cuisinière, Chachi, a complété le repas/ftour de salades délicieuses, de bonnes pâtes bolognaises !
J'ai failli oublié, sur le campement, nous avons toujours eu droit à des repas dignes de ce nom! Les enfants se sont régalés au petit déjeuner de pancakes, de beignets et de bon pain! Nous sommes prêts à 9h et attendons la voiture qui doit nous emmener à Santa Rosa pendant 2h. Pas de souci, il fait bon, il fait chaud et on est en vacances. Nous démarrons vers 11h30. Notre groupe est constituée de nous et de Roberto et son petit chien Cocai! Après 3 heures de piste incroyable, pleines de trous, défoncée nous arrivons au port de Santa Rosa sur le Rio Yacuma. Notre chauffeur Miguel était super concentrée durant toute la route et je peux vous confirmer qu'il a assuré sur cette route! Nous rencontrons notre guide, Jackie, qui nous fait embarquer sur une magnifique pirogue. Jackie en voyant Anoaur avec sa grande caméra, décide de nous faire "faire le tour du propriétaire" et nous en met plein les yeux. 3h de pirogue incroyable! des paysages à couper le souffle de beauté, une végétation dense, des oiseaux superbes (Séréré, Héron, …) des tortues qui se dorent la pilule au soleil, des singes, des insectes…bref un premier aperçu de ce que va nous offrir ce séjour extraordinaire. Nous arrivons au campement en fin de journée. Le diner/ftour nous attend! Puis après le diner Jackie notre guide nous emmène pour un tour en pirogue de nuit pour voir les yeux rouges des alligators et des caïmans. Une sensation unique! car toute l'après midi durant le trajet vers le campement nous avions vu une quantité incroyable de caymans et alligators donc autant vous dire que nous étions tous pas très rassurés. Nous avons vu les yeux rouges d'un crocodile, entendu les bruits de la forêt la nuit … ouf!!! Nous rentrons nous couchés des images plein la tête et nous nous réfugions sous les moustiquaires pour éviter d'être manger tout cru par la horde de moustique.
Nous devons préciser que nous nous étions renseigner avant de partir. Pas de problème de paludisme et de dengue dans cette région à cette époque ci. Donc nous avons fait acheté une grande quantité de protecteurs moustiques en bombe, en crème et avons pris un traitement d'un complexe de vitamines B censé éloigner les moustiques. Rajouter à cela des vêtements à manches longues et des pantalons légers nous étions censés être relativement bien protégés! Enfin en théorie! Après avoir vu maintes agences touristiques pour organiser notre voyage en Amazonie Bolivienne, nous avons enfin trouvé notre bonheur! Pourquoi une agence, allez vous me dire? Eh bien, la route est terrible entre La Paz et Rurrenabaque point de départ de l'Amazonie. 500km approximativement, donc 200km de montagnes et précipices (à côté de la fameuse route de la mort, qui n'est accessible aujourd'hui qu'aux VTT), puis la descente vers le niveau 0m et enfin de la piste défoncée. Conclusion impraticable pour Meskellil. Il nous avait été dit que l'Amazonie bolivienne est à ne pas rater. Donc, nous avons trouvé un pack avion, transport de Rurrenabaque à Santa Rosa, transport de Santa Rosa en canoë au campement, 3 jours, 2 nuits, repas, guide et activités comprises. Ce fut nos vacances! Martin nous accompagne à l'aéroport qui se trouve à El Alto. Nous décollons à l'heure dans un jet d'une 50 aine de personnes. Et là, là …. le cinéma grand écran commence! Le vol dure 25 mn exactement et nous nous régalons. Nous survolons El Alto, nous traversons la cordillère des Andes (que nous avions traversé maintes fois mais par voie terrestre), nous voyons les cimes des montagnes au dessus des nuages (vous imaginez l'altitude vue que nous volions à 8000m d'altitude!), et subitement nous nous retrouvons dans un paysage semi équatoriale, amazonien. Une pure merveille. Nous atterrissons à l'aéroport de Rurrenabaque, qui se trouve au bord du rio Beni. Il fait chaud! la différence de température est incroyablement magnifique! Il fait humide! et nous sommes à 200m d'altitude. Quelle merveille! Une fois descendus de l'avion, des minibus nous attendent pour nous transporter à l'aéroport, et les passagers qui doivent aller sur La Paz attendent à quelques mètres de la piste! L'aéroport de Rurrenabaque est une petite maison. Nos sacs nous sont donnés dans une pièce sur la base de nos tickets de bagages. Un représentant de l'agence nous attend pour nous emmener à notre hôtel car l'excursion commence le lendemain matin. Il nous recommande l'hôtel Mirador del Lobo, au bord du rio. Les chambres y sont vétustes, pas de vitrages au fenêtres que des moustiquaires comme dans toutes les habitations ici. Il y a une piscine, alors tout va bien!
Nous y rencontrons une charmante famille en voyage en sac à dos. Un moment d'échange agréable. Vivement demain pour la grande découverte de l'Amazonie bolivienne! inchallah Lors de notre visite de la ville de La Paz en Bolivie nous avons rencontrée l'organisation La Chispa (l'étincelle). Nous avons apprécié les valeurs que cette association véhiculent sur les évènements malheureux qui se passent à l'autre bout du monde! Nous avons promis à Monica Quijua que nous ferons circuler ces images, merci de nous y aider! Lors de notre passage sur le Salar d'Uyuni nous avons eu la chance de rencontrer la proviseur de l'école Franco Bolivienne de La Paz, Arlette Crouzy, ainsi que Nicolas Rahmi et d'autres professeurs. Ils nous ont chaleureusement invité à visiter l'école et Nicolas nous a proposé de stationner Meskellil dans le centre équestre Valle del Sol à Achocalla. Ce fut pour nous une aubaine! Car stationner à La Paz relève du parcours du combattant! La ville est tout en pente ascendante et descendante, quasi impossible de se mette à plat sur dans une ville pareille. Nous arrivons donc à Achocalla, quartier qui se trouve entre El Alto et La Paz, où se trouve le club équestre. Nous sommes superbement accueilli et Nicolas, Dordre, Reinaldo nous offrent tout ce dont nous avons besoin : eau pour notre cuve, électricité et tranquillité. Les enfants sont heureux! Nous sommes en pleine campagne, entourée de montagnes magnifiques, du trentaine de chevaux et de beaucoup d'espace pour se dégourdir les jambes, jouer avec les chatons du club et rencontrer d'autres enfants qui viennent monter à cheval! La Paz est située à une altitude de 3 660 m. La ville de La Paz s’est développée dans la vallée de Chuquiago Marka entourée par les montagnes Huayna Potosí (6 088 m) et Nevado Illimani (6 460 m) qui surplombe la ville, non loin du lac Titicaca. La Paz se trouve dans une cuvette, elle est d'ailleurs appelée "la ollada", et elle est entourée sur les hauteurs par El Alto. La population de El Alto est supérieure à celle de La Paz, c'est la cité dortoir de La Paz. El Alto se situe sur l'altiplano. Alors que La Paz est répartie sur plusieurs montagnes. C'est une ville impressionnante. 3 ponts relient les différentes montagnes, le système de transport publique est très au point. D'ailleurs, il semblerait que 60% du trafic est constitué de camionnettes et de bus de transports publiques. Nous avons vite découvert que pour aller de Achocalla à La Paz, les minibus, pas chers, et qui nous s'arrêtent exactement où on le souhaite (unique, non?). Une photo de El Alto vu d'avion Nous retrouvons au club hippique, Emilie, une étudiante du lycée Franco Bolivien que nous avions rencontré à Uyuni! Le lendemain de notre arrivée, nous rencontrons Martin, papa d'un cavalier, qui travaille dans le tourisme. Il nous propose de passer la journée avec nous et de nous faire visiter La Paz. Martin en plus d'être un superbe guide, connait bien l'histoire de cette ville et nous apprend beaucoup de chose!
Nous descendons à La Paz par la vallée de la Luna, visitons les quartiers touristiques, passons devant la maison du président Evo Morales, passons par les magnifiques ponts de la ville, approchons de la reproduction de Big Ben, passons à la mosquée de La Paz (qui était fermée!), nous faisons attaqués par les pigeons de la place principale (Plaza Domingo Murillo) à la grande joie de Maya et la grande inquiétude de Meïssa, marchons dans le vieux quartier; passons devant les restes de Murillo gardés par des gardes en tunique de la guerre du Pacifique, visiter un hôtel boutique qui a préservé l'architecture d'époque. Bref une journée où nous avons beaucoup marché, découvert beaucoup de belles choses et appris énormément. Merci Martin pour cette journée magnifique qui nous a permis de comprendre comment se diriger dans La Paz ce qui nous sera très utile par la suite. Après une absence d'une semaine sans connexion internet, nous revenons sur le net! Les enfants ont commencé leur année scolaire le 15 septembre 2013 et l'ont terminé le 11 juin 2014 (jour du passage des examens au consulat espagnol à Santa Cruz de la Sierra en Bolivie). Le bilan est très positif. Ils ont réussi leurs examens haut la main! Le système de notation est le suivant : une note par matière par trimestre, ajoutée à la note des examens qui comptent pour 50% de l'année. Ainsi, Meïssa, Mehdi et Maya passent de classe. Meïssa passe en 6° du niveau primaire (ce qui correspond à la première année du collège dans le système français et à la dernière année du primaire dans le système marocain), Mehdi passe en 5° du niveau primaire (soit le CM2) et Maya passe en 3° du niveau primaire (soit CE2). Nous constatons, nous les parents, que faire le suivi de l'éducation à distance pour les enfants est très faisable et très gratifiant et pour eux et pour nous alhamdoullilah. A raison de 4 à 5h d'école par jour tous les matins, 5 jours par semaine, nous avons trouvé que la charge de travail était intense mais largement gérable. La disponibilité des tuteurs de chaque enfant, leur réactivité, leurs conseils et leur orientation, pour nous parents qui ne sommes pas professeurs, fut très satisfaisante. Nous avons appris à mieux connaître nos enfants, à mieux cerner leurs difficultés. Il faut dire que le fait de pouvoir sillonner le monde pendant la scolarité est un atout majeur : il est tellement plus facile d'expliquer les roches, les pierres quand nous visitons des parcs de 60 millions d'années avec des formations rocheuses diverses, de parler de l'appareil sanguin humain quand à 4800m nous manquons d'oxygène ou de faire du calcul mental quand ils passent gèrent leur argent de poche pour leurs propres achats ou de corriger leurs constructions de phrases quand ils présentent Planet Khmissa et le Maroc à des classes d'écoles dans chaque pays que nous avons visité. Bref, le résultat des courses est que nous sommes tous extrêmement content de cette première année. Il est certain que le premier trimestre fut un peu chaotique car ils nous a fallu prendre un rythme de croisière et nous imposer une discipline de fer pour ne pas nous laisser aller dans le report au lendemain! Nous remercions Miguel Mezquita, professeur à l'école espagnole de Casablanca, qui nous a soutenu, dirigé, conseillé tout au long de cette année. Nous tenons également à remercier Monsieur Azizi professeurs d'arabe à l'école espagnole de Casablanca, qui nous a communiqué les supports des cours d'arabe et les bonnes pratiques pour permettre aux enfants de suivre également cette matière qui n'est pas proposée par le CIDEAD. Voici le témoignage écrit de Meïssa sur sa première année scolaire à distance avec le CIDEAD : Mehdi et Maya ont préféré s'exprimer oralement sur le sujet, voici donc les vidéos : Suite à quelques changements dans la loi du ministère de l'éducation espagnole, les enfants auront une matière supplémentaire l'année prochaine. Conocimiento del Medio (connaissance de l'environnement) sera séparé en deux matières : sciences naturelles et sciences sociales. Cette nouvelle loi sera appliqué sur les niveaux de Mehdi et Maya. Meïssa quant à elle gardera les mêmes matières que l'année précédente.
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AuthorNous vous conterons notre voyage, vous nous conterez le vôtre. El Aalam, ou "le monde" est pour nous un lieu de respect, d'échanges et de découvertes Categories
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Novembre 2015
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