Nous décidons donc de suivre les propositions de Lucho pour passer le weekend! Les activités du weekend : Session Kayak : Après leur avoir expliqué comment cela marche, Lucho donne aux enfants le kayak à tester dans la petite lagune en bas de la maison, qui est la lagune du canard. C’est une grande joie! tout le monde s’y met, les Pitbulls, les enfants et moi! Lucho en profite pour lancer Cisco et Wilson à l’eau et Mona, quant à elle, saute dans la lagune et passe son temps à jouer au jeu du bâton à aller chercher! Nous terminons l’après midi trempés des pieds à la tête avec une bonne dose de rire engrangée!! Ballade dans l’Hacienda Sigsipamba : Andrès, l’ami de Lucho, nous embarque dans son pick up pour aller à la grande laguna plus en altitude. L’idée étant de faire la ballade de retour à pied. Une fois tout le petit monde embarqué, avec les chiens bien entendus, nous entamons notre route. Nous arrivons dans un endroit magnifique. Une belle lagune entourée de montagnes avec des chevaux sauvages. Andrès retourne à ses occupations et nous, nous nous baladons autour de la lagune. Lucho s’approche des deux chevaux sauvages et s’amuse à les faire nager dans la lagune! Nous continuons notre ballade dans la forêt en direction d’une mine! La vue des hauteurs sur la vallée est superbe! Nous sommes de retour à l’hacienda Sigsipamba épuisés d’avoir autant marché, dévalé et couru! Mais la journée n’est pas fini! Il faut déjeuner et aller voir la fête du village du Pifo! Je découvre les tripes à la mode équatorienne! pas aussi bonnes que celles préparées par ma belle mère, c’est sûr! la sauce est faite à base de cacahouètes et bien sûr le tout accompagné de l’éternel riz qui remplace le pain ici! L’activité phare de la fête de Pifo c’est la corrida de taureaux! Rien à voir avec ce que l’on a l’habitude de voir. Cela se passe sur un grand terrain avec des coins restaurants, un petit band de musique locale, un vendeur de ballons et bien sûr comme nous sommes à quelques semaines du carnaval, tous les enfants s’aspergent de mousse. Le champ de bataille est délimité par des barrières en bois et le tout est entouré de picks up surpeuplés de personne qui observent la corrida. Ici, en Equateur, tout un chacun peut aller se mettre dans l’arène et aller tenter sa chance face au taureau. L’idée n’étant pas de le tuer mais de le dominer!
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AuthorNous vous conterons notre voyage, vous nous conterez le vôtre. El Aalam, ou "le monde" est pour nous un lieu de respect, d'échanges et de découvertes Categories
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